#Le double jeu de la jupe portefeuille ...
... La page blanche « fashion »
Ok, le temps est mi-figue, mi-raisin.
Question existentielle :
On porte quoi ?
Si je sors sans veste, j’ai froid et quand je me décide à la ressortir du placard, j’ai chaud.
À la limite de contacter tata Fonelle (*) afin de m’aider dans ma quête spirituo-fashion, je rentre en conclave avec
moi-même.
Ce qui est étrange – et je pense intrinsèquement féminin – c’est la dualité du moi et du moi.
Comment peut-on expliquer qu’il y a des jours où le monde nous appartient, où tous les vêtements qu’on essaye sont littéralement moulés sur la forme de notre corps - qu’on imagine de déesse - et d’autres où, c’est…
juste carrément pas ça.
À notre décharge, on est passé de la neige à la canicule
(oui, oh ça va c’est mon côté marseillais qui ressort).
La semaine dernière, c’était Barcelone sur les bords de Seine, ok, en un peu moins sexy...
Musique, apéro, fou rire, des baisers avec la langue et tout et tout en veux-tu en voilà.
Ce brouhaha des premières chaleurs indiquait que notre sève remontait de notre tréfonds.
Cette parenthèse enchantée a laissé la place aux températures plus fraîches du Printemps.
Ce qui est fou, c’est que cet hiver, après avoir glissé lourdement (comme une m**** même) j’avais juré-craché que je ne me plaindrais pas de la chaleur.
Et bim !
Dès que mes pieds ont gonflé et que la première ampoule a pointé le bout de son nez : résolutions envolées !
Bref, quoi-je-mets quand rien ne va ?
Jupe portefeuille (en pleine battle entre mon moi et mon moi, la jupe portefeuille par son double jeu est un bon choix !) + haut de jogging (après le bas … – voir précédent post).
Bref, je me suis gelée les gambettes et mon foulard noué autour du poignet n’y a rien changé, mais mon look était sympa, c’était déjà ça.
C’est tout vu, c’est mouche cousue !
(*) Via le compte instagram l_observatrice, la joyeuse et pétillante Sophie Fontanel distille ses conseils avisés
♡ON ADORE ♡